Moto3 : Viñales reprend la tête du championnat
Maverick Vinales (KTM N°25) s’adjuge la victoire en Moto3 sur le circuit de Jerez de la Frontera. Ce faisant, le pilote espagnol, troisième de la catégorie en 2012, reprend la tête du classement provisoire.
Maverick Vinales remporte le Moto3 de Jerez, une course réduite à 15 tours. |
En effet , suite à la course d’Austin aux Etats Unis, Maverick Vinales était relégué en 3e position. Mais l’écart n’était que d’un petit point.
Le grand perdant du w.e. n’est autre qu’Alex Rins (KTM N°42) qui avait remporté la pole position la veille. C’est encore lui qui réalise le meilleur départ, avant de se faire déposséder dès le 3e tour.
A ce moment là ils sont quatre pilotes en tête de course, dans un mouchoir de poche : Maverick Vinales (KTM N°25), Alex Rins ( KTM N°42), Luis Salom ( KTM N°39) et Jonas Folger (Kalex KTM N°94).
Hélas au 11e tour, Alex Rins chute et laisse le duo formé par Maverick Vinales et Luis Salom s’échapper. Jonas Folger ne peut suivre le rythme des deux hommes et se contente de la 3e place du podium à plus de 4 secondes des leaders.
Belle prestation d’Alexis Masbou ( FTR Honda N°10) qui, classé 13e aux essais qualificatifs, termine dans le Top Ten.
La courrse a été interrompue au 16e tour sur drapeau rouge, suite à la chute d’Alan Techer, du team CIP. Mais le français a bien subi un scanner, qui n’a rien révélé . De fait le pilote français a chuté sur casse moteur de sa Honda, une casse moteur qui est loin d’épargner les autres teams roulant sur le moteur de la marque Niponne.
Maverick Vinales comme un "Pacha"Dès le 3e tour du Moto3, Maverick Vinales s’empare des commandes. Il est suivi par Alex Rins, Luis Salom et Jonas Folger. |
Alexis Masbou dans le Top tenLe pilote originaire d’Albi termine dans le Top Ten. Il a longtemps été aux prises avec Dany Webb (N°99). |
Un accrochage "off limits"Une fois le drapeau rouge brandi, Livio Loi et John Mc Phee n’ont pas trouvé mieux que de s’accrocher. La course étant déclaré finie, cet incident n’apparaît nulle part : sauf sur cybermotard ! |
Thierry Leconte