Le Graal de la coupe Sportwin pour Maxime Duret
Maxime Duret arrache les titres de Champion de la Coupe Sportwin et de la Coupe TwinMax malgré une saison marquée par des problèmes mécaniques, terminant la saison avec une Ducati 750 S du siècle dernier.
Le parcours de Maxime DuretEn 2005, Maxime s’inscrit au Ducati Club de France (DCF) et participe aux endurances associé à son copain Laurent Richard, avec des victoires dès 2008. Max gagne des courses en Vechio Twin. Depuis 2011, il participe au challenge Protwin. En 2015, Max fait quelques apparitions en coupe Sportwin pour finalement s’imposer cette année. |
Une saison chaotique3 victoires, 2 places de second et 2 de troisième permettent à Maxime d’être titré champion de la Coupe TwinMax et de la Coupe Sportwin 2016, un titre disputé jusqu’à la dernière épreuve par Régis Le Breton. C’est avec son prototype Ducati 1100 qu’il monte 3 fois en haut du podium à Pau, au Vigeant et en Bresse. Avec une Ducati 1000, prêtée par Robert Viemont, Max sauve des points précieux à Haute Saintonge, finissant la saison à Croix en Ternois avec une Ducati 750 S de 1989. |
Tom, mascotte du paddockDepuis sa naissance, Tom, fidèle supporter, suit son papa sur tous les circuits avec le paddock pour terrain de jeux, il fait même la une dans l’Echo des Conti ! Sa compagne Cécile assure la logistique, libérant Max des contraintes d’avant courses pour être un papa pilote zen qui s’autofinance. |
Son protoSon prototype sort des mains d’Arnaud Royuela, une partie cycle de 1098 motorisée avec 1100 Evo. La ligne d’échappement est unique, réalisée par Claude dit Pépère. EMC assure l’amortissement arrière et Thierry Chaplain prépare la fourche. Malheureusement ce magnifique prototype subit les caprices d’un boitier défectueux entraînants une mauvaise gestion et des pannes à répétition. |
Ducati 750 S de 1989Et non, ce n’est pas une démonstration Moto Légende, ni une photo d’archive ! Maxime, en guerrier chevaleresque saute sur une monture poussive mais fiable pour clôturer sa saison et gagner le Graal. |
Sandra Le Saux