MotoGP, Zarco chez Ducati "Avintia", c’est "presque" fait !
Les rumeurs assourdissantes qui se répandent dans les box du MotoGP, et qui font état de l’arrivée "imminente" de Johann Zarco chez Avintia Ducati, ne sont pas dénuées de fondement. Bien au contraire !
On a vu l’image de Johann Zarco, sortir du camion Ducati lors des essais hivernaux de Valencia. Preuve s’il en est que le français était bien en négociations avec les dirigeants de l’usine de Borgo Panigale !
L’arrivée du français avait déjà été annoncée par un site suisse, qui citait Paul Romero, le team manager le 20 novembre ! Selon nos propres sources, cet accord a bien été signé !
Problème, Zarco devrait prendre la place de Karel Abraham. Or ce dernier n’est visiblement pas prêt à céder sa place ! Normal, son papa lâche quelque chose comme 5 millions de dollards/an pour que son fiston apparaisse en motoGP, avec le manque de résultat que l’on sait !
De plus Karel Abraham aurait un engagement en "bêton", au vu de la somme que Papa Abraham lâche pour son rejeton ! Mais cet argument tombe à l’eau, puisque Ducati aurait injecté des sommes conséquentes au sein du team Avintia, pour l’élever au rang de team "satellite" avec moyens financiers accrus et une assistance digne de ce nom !
Enfin Karel Abraham n’ a aucun "aura" international, à part celui d’être un fils - à -papa !
Par contre il est clair que Johann Zarco ne possède pas le premier Kopek des 5 millions de dollars pour rouler chez Avintia !
Le but recherché par Ducati, est de relever le niveau de ses pilotes, surtout quand on voit qu’un Jack Miller devance les pilotes officiels : Doviziozo et Petrucci !
Enfin la FIM et la Dorna ont tout intérêt à aligner deux français dans la catégorie reine, ne serait ce que pour attirer le public français au GP de France !
Ensuite on verra si Yohann Zarco sera un vrai pilote de développement chez Ducati. Pour l’instant en 2020, il devra se contenter des GP version 2019 !
Mise à jour du 21 novembre à 7H50 : Zarco sera hébergé chez Avintia, mais il sera sous contrat de l’usine Ducati avec une vraie moto satellite.
Thierry Leconte